29 avril 2011
Le jardin s'émerveille...
Moi qui récuse le diction "l'uniformité crée l'ennui" en cultivant un jardin monochrome, aux verts moirés, grisés, vernis, lustrés, profonds, panachés, diaphanes, ai adopté l'étranger, l'intrus qui crée l'émulation : les teintes vibrent, les insectes...